Lydia Verde

Invité

Nom : Verde (Se prononce Verdé ^^ !)

Prénom : Lydia

Surnom : Diane

Âge et/ou date de naissance : Lydia est né un joli jour de printemps sous un cerisier en fleur. Quel jour exactement ? Quel mois ? Quelle année ? Elle ne se souvient plus très bien, mais il semblerait qu’elle aie 17ans et demi, bien qu’elle paraisse un peu plus mure parfois…

Sexe : féminin, à n’en pas douter !

Elément : Terre & Nature

Physique :

Beauté pure ça vous parle ? Parce que c’est sûrement l’expression qui définit le mieux Lydia ! La nature, sa fidèle amie, l’a honoré de toute sa splendeur. Image même de la perfection physique, elle a les jambes longues et élancées, les hanches rondes, les articulations fines, la taille mince... Elle arbore une poitrine des plus généreuses et des traits raffinés. Ses yeux de la couleur de la terre sont doux et expressifs. Elle possède des lèvres fines mais pulpeuses et des mains délicates. Son maintien est fier tout en restant doux et discret. Lydia est svelte jusque dans sa démarche, lente mais assurée. Tout chez elle respire le calme et la tranquillité. Ce qui reste le plus étrange chez la jeune femme est tout de même sa longue chevelure verte qui cascade jusqu’en bas de son dos. Oui, vous avez bien lu, VERTE ! Et le pire dans tout ça, c’est que ce n’est même pas une coloration ! A sa naissance, la teinte de ses cheveux était plus proche du blond mais au fil du temps il fut de plus en plus impossible de nier l’évidence : Lydia avait bel et bien les cheveux verts. Cependant, bien que ce soit étrange, ça lui va très bien !

Après cela, je suppose qu’une question bien adaptée vous trotte en tête : comment la nature, malgré toute sa bonté, a-t-elle pu permettre qu’une fille à l’apparence aussi parfait existe ? Comment se fait-il que quelqu’un puisse être aussi beau aux yeux de tous ? Détrompez-vous, Lydia n’a pas un physique parfait ! Et si son corps et indéniablement agréable, elle possède quand même au moins une imperfection : ses oreilles sont un peu longues…

Caractère :

Un trait de caractère domine chez Lydia : sa douceur. Toujours tendre et délicate, ses gestes sont précis et un peu lents. Elle affiche sans cesse sur son visage un sourire apaisant et épanoui. Son regard est indulgent et tout en elle respire la tendresse de la tolérance. Depuis toujours, Lydia est un exemple de bienveillance. Parlant peu et toujours à l’écoute des autres, elle passe cependant beaucoup de temps dans la solitude, aimant se réfugier en forêt, loin des bruits de la ville. Elle aime avant tout la nature, l’esthétique de ce qui est pur. Jamais vous ne verrez sur elle la moindre trace de maquillage, d’ailleurs elle n’en aurait guère besoin. De la même manière, ces vêtements son souvent très simples. Elle aime le silence, le calme, la lenteur, les animaux. Pure, mais candide. Non qu’elle soit dépourvue d’intelligence, mais elle a tendance à croire tout ce qu’on lui rencontre, à ne pas voir la dure réalité du monde. Elle a gardé son âme d’enfant… Elle n’aime pas la pollution, le gris, le béton, le superficiel… Tout ce qui n’a pas l’air « naturel ». En total osmose avec la végétation, elle est en revanche parfois prise de malaise quand elle reste enfermée dans un lieu clos et froid, vide et loin de l’extérieur.

Histoire :

Contrairement à beaucoup, Lydia n'eut jamais à découvrir son pouvoir. Dès la naissance, elle sut qu'elle pouvait contrôler la nature de la même manière qu'elle pouvait contrôler ses bras ou ses jambes. Enfin, comme pour chaque mouvement, il lui fallut tout de même du temps pour comprendre comment ça marchait et elle ne cessa jamais de découvrir toutes les possibilités que son don lui apportaient.

Lydia connut que très peu son père nommé Artémis. Mage dédiant sa vie au culte de Leasy, la déesse de la Terre et de la Nature dont il prétendait être le descendant direct, il passait son temps loin de la civilisation humaine, dans des forêts ou des collines reculées où il méditait et priait la Déesse. C'est pour cette raison qu'il installa sa famille dans un lieu assez loin de tout, à la campagne. Ils n'avaient aucun voisin et, le village le plus proche se trouvant à 5km de là. Et encore, ce n'était qu'un petit hammeau sans école avec tout juste une petite épicerie... Ils avaient acheté une ferme où ils élevaient des animaux et entretenait un grand potager histoire de pouvoir vivre sans trop avoir à voyager. Surtout qu'ils ne possédaient pas de voiture... Quand à Lydia, elle n'allait pas à l'école évidement ! Bien trop loin ! Alors, comme l'instruction est obligatoire et que ses parents étaient loin de vouloir une fille ignorante, c'est son père et sa mère qui lui apprirent tout ce qu'elle devait savoir.

Certains jours, Artémis préparait un pic-nique et emmenait Diane dans un de ses lieux de méditation. Ils passaient la journée près de la Nature et son père lui apprenait à la comprendre et l'entraînait à se servir de ses dons innés. Il lui confia être le descendant d'une déesse appelée Leasy qui maîtrisait la Nature et la Terre et que, lorsqu'il retournerait à la Terre sous forme de poussière, ce serait à Lydia de prendre la relève. Alors, jours après jour, il lui inculquait tout son savoir. Lors de ces journées hors du commun, le vieil homme parlait beaucoup plus que d'habitude. En effet, Artémis était un homme très silencieux. Prononçant des mots qu'en cas de grande nécessité, il avait le physique d'un vieil ermite plein de sagesse : une longue barbe blanche et des yeux verts pétillants de savoir, il s'habillait avec des tissus à peine cousus et se fondait dans le paysage.

Hormis ces quelques leçons, Lydia passait son temps en compagnie de sa mère, Eve. Celle-ci ne possédait pas le don de son mari mais était d'une grande douceur. Très complice avec sa fille, Eve avait toujours le sourire aux lèvres. Ensemble, elles s'occupaient de la ferme. Mais surtout, le soir, Eve attrappait un gros livre parmis les nombreux qui tapissait les étagères de la maison et lisait à Lydia. Des histoires de toutes sortes qui faisaient rêver la jeune fille. Plus tard, Lydia put les lire elle-même.

Vivant à l'écart de la société, Lydia ne voyait que très peu des gens étrangers à sa famille proche. Juste lors de leurs courses en ville... Mais, à ses 13 ans, elle eut une étrange surprise. Très solennellement, ses parents lui déclarèrent avoir à lui parler. Ils s'installèrent chacun dans un fauteuil du salon et, après un instant sans rien dire ou Diane se demanda ce qui se passait, son père prit enfin la parole. Il lui expliqua qu'il lui avait enseigné tout ce qu'elle devait savoir et qu'il était temps pour elle de se débrouiller toute seule. Il lui dit que l'endroit où ils vivaient était très sympathique mais qu'il lui fallait découvrir le monde extérieur pour le comprendre et s'assagir encore plus. Elle pourrait revenir au bercail, mais pas avant ses 26 ans. Elle allait construire sa vie et n'était même pas obligée de revenir si elle n'en avait pas envie. Leur porte restait ouverte, ils l'aimaient, mais il fallait qu'elle découvre le monde. Ils l'avaient inscrite dans un pensionnat en ville qui l'hébergerait un an, le temps maximum imparti pour qu'elle trouve une source de revenu et un endroit ou dormir. Et ils dirent tout cela avec un grand sourire encourageant mais une mine sérieuse. Lydia n'en revenait pas. Quand elle comprit que tout cela était bien vrai, que ses parents ne plaisantaient pas, elle fondit en larmes, se sentant profondément trahie. Le lendemain, elle quittait la maison sous les signes d'adieu de ses parents.

Lydia passa donc une année dans ce fameux pensionnat. Elle prit du temps à s'intégrer mais y parvint. Elle se fit quelques amis. L'un d'eux avait un père célèbre en tant qu'homme d'affaire qui voyageait un peu partout dans le pays et qui recherchait une bonne à tout faire. Le temps passant sans que Diane ne trouve de métier pouvant accepter une fille d'à peine 14 ans, elle alla donc voir ce père qui accepta de l'employer comme bonne à tout faire. Année après année, elle suivit cet homme dans ses nombreux voyages d'affaires et lui rendaient quelques services en échange de l'hébergement et du couvert. C'était souvent des tâches fatiguantes et dures qui lui prenait beaucoup de temps mais elle avait quand même un peu de temps libre. Dans ces instants-là, elle se promenait dans la ville et découvrait le monde, parlait avec des inconnus et s'intéressait à tout. Souvent, elle repensait à ses parents et pleurait en silence leur rejet, attendant avec impatience ses 26 ans même si, elle s'en rendait compte à présent, elle ne savait même plus quel âge elel avait... Un jour, elle entendit parler d'une école étrange où vivaient des jeunes avec des donc bizarres. Elle décida d'y aller et, après avoir longuement remercier son employeur pour sa bonté, partit vers le pensionnat du volcan

La façon dont vous avez connu le forum : Maeko Itsuky (quel beau nom ^^)

Ca promet en tout cas Very Happy

Bon, si tu veux.... Mais grouille-toi !! Je meurs sans toi !! et je viens de passer trois heures à trouver comment te valider et te faire prof de l'élément alors je vais pas modifier !! Fini ta présentation et surtout, quand tu auras fini, dis leuh !!!!! ^^

Invité

C'est bon ! J'ai fini !

Super

Ah....................... Je lis pas ton histoire, tu me la resumera en bref parce que... J'ai la flème et pas le temps !! Surtout la flème mais il ne faut pas l'avouer comme ça ^^

Allez, cette fois-ci, je te le mets ton

oO0 VALIDEE LA MISS 0Oo